Le bachelier en agronomie comporte les bases scientifiques, techniques et économiques indispensables pour répondre aux exigences croissantes des métiers d’agronome, de forestier et d’éco-conseiller.
Après une 1re année commune, les étudiants choisissent une finalité qui leur permettra de se spécialiser dans leur domaine de prédilection.En 3e année, les étudiants mettent à profit leur période de stage pour réaliser un travail de fin d’études.
À la formation théorique acquise lors des cours s’ajoute une formation concrète qui s’effectue à la ferme expérimentale et pédagogique, dans les champs d’essais, les serres et les pépinières, les laboratoires (analyses de terre, de fourrages, d’engrais, les laboratoires de microbiologie et de culture in vitro), et dans les services de comptabilité agricole et d’information.
La formation des bacheliers professionnalisants vise à :
- développer chez les étudiants des compétences utiles et nécessaires pour leur vie professionnelle en tenant compte des contraintes imposées par une société en perpétuelle évolution et en leur imposant des contacts fréquents avec le monde du travail;
- permettre aux diplômés de développer une agronomie, respectueuse de l’environnement, fondée sur les progrès des sciences et des techniques;
- renforcer chez les étudiants une attitude de prise de responsabilités en les associant à des activités de services à la collectivité, en les incitants à l'étude de langues étrangères ainsi qu'à la mobilité;
- préparer les étudiants à être des citoyens actifs animés de valeurs démocratiques, humaines et relationnelles tournés résolument vers le futur dans une démarche de développement durable.
Au terme du bachelier professionnalisant et d’une année préparatoire, les étudiants ont, notamment, accès au Master en Sciences agronomiques organisé à la HEPH – Condorcet (Ath).
Gestion des productions animales et végétales
L’agronomie des régions à climat tempéré est constituée principalement par les grandes cultures industrielles comme, entre autres, celles de la betterave, du froment, de la chicorée, de la pomme de terre, du lin ou du colza, par les cultures fourragères (prairie, maïs, légumineuses…), et les productions animales pour la viande comme pour le lait. Des élevages et des cultures spécialisés s’y ajoutent comme les volailles, les lapins, les moutons, les plantes médicinales et condimentaires. Tous les facteurs de production seront étudiés du point de vue technique, économique et social.